AU TRIBUNAL, l’avocat défend exclusivement les intérêts de son client. C’est ensuite un juge qui tranche et décide sur base des faits et des preuves, conformément à la loi. Les négociations se passent donc entre avocats et la décision est finalement prise par un tiers (un juge).
« Justice est rendue ! » mais dans un schéma « gagnant-perdant »… En effet, le droit n’est pas toujours perçu par les parties comme étant « juste », surtout lorsque la décision n’est pas conforme aux attentes de chacun.
De plus, une procédure judiciaire a tendance à attiser le conflit, ce qui dans le cadre familial est malheureusement souvent lourd de conséquences.
EN MÉDIATION, les parties négocient et décident elles-mêmes, encadrées par le médiateur qui les accompagne – de manière confidentielle, neutre, impartiale et indépendante – pour faciliter la communication mais qui en aucun cas ne décide pour ses clients.
Les parties sont alors dans un schéma « gagnant-gagnant » car les solutions trouvées et les décisions prises (par elles-mêmes) concernant leur vie présente et future, respecteront les besoins et intérêts de chacun.
C’est pourquoi un accord conclu en médiation est souvent mieux accepté et respecté qu’un jugement. Cela peut par ailleurs aider à apaiser le conflit, entraînant un impact positif sur l’ensemble de la famille et notamment sur les enfants.